Bodegón de arena / Sand Still life.
81 x 100 cm
Technique mixte sur toile
81 x 130 cm
Technique mixte sur toile
114 x 146 cm
Technique mixte sur toile
81 x 130 cm
Technique mixte sur toile
73 x 92 cm
Technique mixte sur toile
54 x 73 cm
Technique mixte sur toile
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artemerello@gmail.comJose Manuel Merello
José Manuel Merello. Spanish Painters. Spanish Contemporary Art. Modern Painting. Expressionism.
Prices and Purchase of the Work.
El sueño
81 x 100 cm
Technique mixte / Toile
Las Meninas
40 x 30 cm
Technique mixte / Bois
Caballo japonés
Grafito / Papel
La niña de la luna
73 x 54 cm
Technique mixte / Toile
Mauve girl
92 X 73 cm
Technique mixte / Bois
Florero con viento azul
92 x 73 cm
Technique mixte / Toile
Florero con fondo rayado
73 x 54 cm
Technique mixte / Toile
Balcón al Mediterráneo
Technique mixte
Enigma
92 x 73 cm
Technique mixte / Toile
"Pour un peintre comme moi,
obsédé par la composition et la structure de mes tableaux, tout en peinture
fonctionne comme dans une nature morte. Le défi de composition authentique de toute peinture est que
« travail » dans tous ses éléments ; que chacune de ses pièces engage avec
précision et "respirer" avec ses voisins et même former des connexions complexes
avec des zones éloignées du tableau, comme des réseaux de neurones complexes dans les synapses
continue. Cette interconnexion cachée rend les peintures apparemment mal fait ont un mystère qui nous sublime, un rythme étrange que nous ne connaissons pas
d'où ça vient mais qui nous avertit qu'il y a de l'art qui bat dans son maladroit ou
coutures "laides". Beaucoup de ces peintures laides et mal faites sont
admirablement coordonnés à l'intérieur, et on les coupe où on les coupe ils continuent à économiser comme peinture, à se régénérer comme la queue amputée d'un
lézard. C'est pourquoi je suis passionné par presque tous les courants artistiques et de la même manière, je ne distingue pas les thèmes ni les genres en peinture. Tous ils fonctionnent pareil. Tous sont, après tout, une nature morte, une "nature vivante"
-jamais mort- où l'on dispose les éléments pour former un espace dynamique
que le spectateur active et fait respirer avec ses yeux en observant
sensible. Un paysage est une nature morte ; le soleil, les nuages et les vastes champs
ils partagent et se nourrissent comme ils font un bol avec les fruits qui
qu'il contient et la table qui le supporte. Même un portrait, s'il est bon, est régi par
ces contrepoids cachés qui lui donnent vie. Jusqu'à Las Meninas de Velázquez ce serait comme une nature morte extraordinaire - éthérée et légère dans son ciel, dense et
lourd dans son humanité - avec des espaces profonds et riches qui se parlent
suivant les lois de composition du genre nature morte. Une coupe aléatoire dans le ciel de Las Meninas contient tout son art, maintient le nerf et la cadence de la
le génie, son travail inégalé, son air emprisonné ; une seule mèche de cheveux transparente de l'Infante Marguerite vaut un monde, un monde qui parle en
parfaite synchronie plastique avec, par exemple, la fourrure dense et onctueuse du grand
Danois assis sur la photo. Ici, chaque partie contient le tout, et, comme dans le scapulaires et reliques des saints, d'un tout petit morceau émane tout le grâce, toute sa capacité miraculeuse. "
"Un signe certain d'échec dans
un tableau est le surchargé suffocant entre ses parties. S'il n'y a pas
le souffle entre ses fragments ne peut jamais travailler ni faire voyager l'oeil
entre les différentes histoires et intrigues qu'il cache. La paralysie et épuisement
de l'œil est la mort de toute peinture. Moi, quand je peins, sachant tout ça, je range toujours mes objets et mes affaires comme dans une nature morte, travaillant dans un
tout mais avec le soin et le tact soigner les petits détails, du trait
imperceptible, de la petite fissure vivante qui détourne le chemin de la goutte
délicat qui glisse, comme une larme, dessinant avec précision l'orographie de
la couche picturale. Et je fais comme ça parce que je sais que ça dépend de ces petits mondes qu'une certaine émotion plastique s'active chez le spectateur et que le tableau commence à
fonctionner, à partir de là, dans toutes ses rouages. rien de plus ne peut souhaiter toute peinture pour exister : n'être activé et initié que par le fluide et observation attentive d'un spectateur sans préjugés. Le reste, grâce au miracle de l'art, ça marchera tout seul."
© José Manuel Merello